Table des matières
Membres
Chantal Arbour
Présidente
Chantal Arbour est directrice générale du Cégep Limoilou. Elle détient une maîtrise en éducation de l’Université du Québec à Rimouski, de même qu’un baccalauréat en littérature française et un certificat en enseignement collégial de l’Université Laval. Mme Arbour œuvre dans le réseau collégial depuis plus de 25 ans. Après avoir occupé les postes d’enseignante, d’aide pédagogique individuelle et de conseillère pédagogique au Cégep de la Gaspésie et des Îles, elle s’est jointe à l’équipe du Cégep Limoilou en 2007 où, avant de devenir directrice générale, elle a occupé les fonctions de directrice adjointe des études et de directrice des études.
Au fil des ans, Mme Arbour a relevé plusieurs défis et a contribué à la mise en place de différents projets importants liés à l’enseignement, à l’apprentissage et à la réussite.
Elle assure aujourd'hui la codirection du comité directeur du Pôle régional en enseignement supérieur de la Capitale-Nationale. Elle est également membre du comité directeur du conseil des directions régionales des cégeps, et elle et participe à plusieurs comités de travail de la Fédération des cégeps et du ministère de l’Enseignement supérieur. Elle siège aussi aux conseils d’administration du Centre de formation et de consultation en métiers d’art et de l’Alliance Sport-Études.
Antoine Genest-Grégoire
Vice-président
Antoine Genest-Grégoire est professeur adjoint au département de fiscalité de l'Université de Sherbrooke. Ses intérêts de recherche portent principalement sur les effets des politiques publiques sur la répartition du revenu, de même que sur la perception et les attitudes des citoyennes et des citoyens face à ces politiques. Il est chercheur à la Chaire de recherche en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke et ses travaux ont été diffusés dans le milieu universitaire, ainsi que dans les médias grand public.
Il est titulaire d’un doctorat en politiques publiques de l'Université Carleton, d’une maîtrise en administration publique de l’ENAP ainsi que d'un baccalauréat en économique de l’Université du Québec à Montréal.
Jean-Stéphane Bernard
Membre
Jean-Stéphane Bernard est président-directeur général des Offices jeunesse internationaux du Québec (LOJIQ) et secrétaire général de l’Office franco-québécois pour la jeunesse depuis septembre 2019. Il était auparavant secrétaire général associé au Secrétariat du Québec aux Relations canadiennes du ministère du Conseil exécutif depuis mars 2018.
Jean-Stéphane Bernard fait carrière dans la fonction publique québécoise depuis 1994. Il a occupé plusieurs postes à la Régie des rentes du Québec et ce, jusqu’à son passage au ministère des Relations internationales en novembre 2007. Il fut directeur du Bureau du Québec à Washington (2008-2011), délégué du Québec en Nouvelle-Angleterre (2011-2012), sous-ministre adjoint aux affaires bilatérales (2012 à 2014) puis sous-ministre du ministère des Relations internationales et de la Francophonie (2014 à 2018).
Jean-Stéphane Bernard est titulaire d'un diplôme en sciences de l'administration (finances et comptabilité) de l'Université Laval, d’une maîtrise en administration publique de l'École nationale d'administration publique (ÉNAP) ainsi qu’un certificat en formation des cadres dirigeants au Massachusetts Institute of Technology (MIT). En 2018, il a reçu de l’ÉNAP pour sa contribution exceptionnelle la médaille du 50e anniversaire de l’Université du Québec. En 2019, l’ÉNAP l’a désigné comme l’un de ses onze diplômés d’influence dans le cadre de son 50e anniversaire et en 2023, l’Université Laval l’a désigné comme l’un de ses grands diplômés.
Robert Bilterys
Membre
Robert Bilterys est infirmier et titulaire d’un doctorat en santé publique spécialisé en organisation des soins de santé. Après être devenu professeur au Département des sciences infirmières de l’Université du Québec en Outaouais en 2010, il a été directeur du Module des sciences de la santé, puis doyen de la formation continue, des partenariats et de l’internationalisation.
En novembre 2020, Robert Bilterys a été nommé directeur de l’enseignement et de la recherche à l’ENAP, pour un mandat de cinq ans. Outre ses fonctions à l’ENAP, il est également professeur invité dans des établissements d’enseignement supérieur en Afrique francophone, et membre coopté de l’Assemblée générale de l’Université Senghor en Égypte.
Sébastien Keiff
Membre
Sébastien Keiff a obtenu une première maîtrise en économie internationale à l’École d’économie et de management de Lund (Suède) au début des années 2000, puis une deuxième maîtrise en gestion sociale de l’environnement à Albi (France). Il a ensuite travaillé pendant plus de 15 ans dans l’administration publique française à différents postes de direction stratégique, notamment en développement durable, en évaluation, en participation citoyenne et en innovation publique.
Depuis 2016, il est également consultant indépendant. Il accompagne des organisations publiques et privées dans leur planification stratégique, leur plan de développement durable, leur formation en management collaboratif, en intelligence collective et en participation citoyenne.
En 2019, il a repris ses études en maîtrise à Sciences Po. Il est aujourd’hui étudiant au doctorat en administration publique à l’ENAP, sur le campus de Québec. Il s’intéresse aux questions d’intégration, d’immigration, de lutte aux discriminations, ainsi qu’aux méthodes qualitatives, au management public et au développement durable.
Hugo Cyr
Membre
Avocat émérite, Hugo Cyr a été professeur titulaire à la Faculté de science politique et de droit de l’Université du Québec à Montréal, où il a aussi été doyen de 2015 à 2020. Il est directeur général de l’ENAP depuis 2022. Expert en droit constitutionnel, en intelligence artificielle et en théorie du droit, il détient un doctorat en droit de l’Université de Montréal, une maîtrise dans la même discipline de l’Université Yale, et il est diplômé de droit civil et de common law de l’Université McGill. Il a été auxiliaire juridique auprès de l’honorable juge Ian C. Binnie de la Cour suprême du Canada, Boulton Fellow à l’Université McGill, chercheur en visite à l’Académie européenne de théorie du droit, professeur invité à l’Université McGill et Schell Fellow à la Yale Law School.
Hugo Cyr a été impliqué au sein de nombreux organismes et associations, notamment la Chaire UNESCO d’étude des fondements philosophiques de la justice et de la société démocratique (dont il a été vice-président de 2003 à 2009), l’Institut québécois de réforme du droit et de la justice (où il siège au comité scientifique), et l’Association du Barreau canadien (où il a présidé le Comité de réforme du droit et où il a été membre du Conseil d’administration de la Division du Québec). Il a également été membre du Centre de recherche interdisciplinaire sur la diversité et la démocratie, directeur de l’axe Fédéralisme de coopération, asymétrie et solidarité du Centre d’analyse politique : Constitution et Fédéralisme, puis coinstigateur et membre de LegalIA (un groupe de recherche sur les legaltechs) et d’HumanIA, un collectif de recherche en sciences sociales et humanités sur l’intelligence artificielle.
Geneviève Lacroix
Membre
Geneviève Lacroix évolue depuis 22 ans au sein de l’administration publique québécoise. Elle cumule des expériences variées dans différents secteurs, notamment les réseaux de la santé et de l’éducation, de même que des organisations d’envergure telles que Revenu Québec. Elle compte plus de 20 ans d’expérience en gestion des ressources humaines, dont plus de 15 ans dans des postes d’encadrement.
Au cours de sa carrière, Mme Lacroix a été appelée à réaliser des projets organisationnels d’envergure, à jouer un rôle-conseil stratégique auprès de dirigeantes et de dirigeants, puis à faire évoluer des programmes et des services en matière de dotation, de relations du travail et de développement organisationnel. Elle a également participé activement à plusieurs transformations et fusions d’organisations. Plus récemment, elle a été mise à contribution dans des projets touchant la santé organisationnelle, le développement du leadership, la santé et la sécurité du travail, le virage numérique du développement des compétences, l’expérience employée et employé, ainsi que la transformation des milieux de travail. Elle est actuellement directrice générale de la relève et du développement des talents au Secrétariat aux emplois supérieurs du ministère du Conseil exécutif.
Geneviève Lacroix détient une formation universitaire de premier cycle en relations industrielles, ainsi qu’en relations du travail. Elle est aussi détentrice de deux diplômes de deuxième cycle : un en gestion et en développement des organisations, puis un en droit avec une spécialisation en prévention et en règlement des différends. Elle est également membre active de l’Ordre des conseillers en ressources humaines depuis 2000, et de l’Institut de médiation et d’arbitrage du Québec depuis 2010.
Madame Lacroix détient une formation universitaire de premier cycle en relations industrielles ainsi qu’en relations du travail. Elle est également détentrice de deux diplômes de deuxième cycle : en gestion et développement des organisations, et en droit avec une spécialisation en prévention et règlement des différends. Elle est également membre active de l’ordre des conseillers en ressources humaines depuis 2000, et de l’institut de médiation et d’arbitrage du Québec depuis 2010.
Patrick Monarque
Membre
Monsieur Patrick Monarque est directeur en chef - Gouvernance d'affaires et de la technologie, chez Investissements PSP. À ce titre, il participe à soutenir l’organisation avec des systèmes et des processus évolutifs. Avant ce poste, il a été directeur en chef, Soutien aux opérations et Finance des placements au sein de la Direction financière.
Auparavant, Monsieur Monarque était vice-président associé, Services aux gestionnaires et Opérations, Placements privés et Infrastructures au sein du groupe Opérations et Technologie de l'information de la Caisse de dépôt et placement du Québec. Il dirigeait les équipes d'opérations financières, de soutien analytique, d'administration et d'évaluation des placements pour les portefeuilles Placements privés et Infrastructures. De plus, il a été responsable de l'implantation d'une solution technologique intégrée et a participé à la transformation des processus d’affaires.
Il a commencé sa carrière au sein du Mouvement Desjardins en Information et divulgation financières, Division rapports financiers et au Bureau de la surveillance et de la sécurité financière.
Il est membre de l’Ordre des comptables professionnels agréés du Québec (CPA) et du Collège des administrateurs de sociétés (ASC).
Abdoul Aziz Niang
Membre
Abdoul Aziz Niang est sous-ministre adjoint au Sous-ministériat aux pêches et à l’aquaculture commerciales au ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ) depuis décembre 2012. Il possède une longue feuille de route dans le secteur des pêches et de l’aquaculture commerciales. Ainsi, il a été successivement directeur régional des pêches et de l’aquaculture aux Îles-de-la-Madeleine, puis directeur des analyses et des politiques du secteur des pêches du MAPAQ. Au préalable, il a occupé des postes à titre de conseiller en développement pour le secteur des pêches aux Îles-de-Madeleine et en Gaspésie. Avant son entrée au MAPAQ, il était directeur général de l’entreprise Les Produits de la Mer – International.
Abdoul Aziz Niang est titulaire d’une maîtrise en gestion des ressources maritimes et d’une maîtrise en sciences économiques. En 2016, il a été récipiendaire du Prix Jean Alfred pour son engagement social et sa contribution positive au sein de l’administration publique. Il a aussi reçu, en 2005, le prix Olivier-Lejeune pour son apport à l’essor et à l’intégration de la communauté noire dans la région de Québec.
Martin Pâquet
Membre
Ayant obtenu en 1995 son doctorat en histoire de l’Université Laval, Martin Pâquet a enseigné à l’Université Laval, à l’Université du Québec à Rimouski, au Collège universitaire Glendon de l’Université Yok (Toronto), au campus d’Edmundston et à l’Université de Moncton. Il est actuellement professeur titulaire au Département des sciences historiques de l’Université Laval. Depuis 2010, il est aussi titulaire de la Chaire pour le développement de la recherche sur la culture d’expression française en Amérique du Nord.
Spécialiste en en anthropologie historique, Martin Pâquet s’intéresse aux multiples expressions des cultures politiques au Québec, au Canada et dans les francophonies nord-américaines depuis les Révolutions de la fin du 18e et du début du 19e siècle jusqu’à nos jours. Ses intérêts s’étendent aussi aux études migratoires dans une perspective interdisciplinaire et transnationale.
D’abord, ses travaux sur l’immigration, les politiques étatiques et les processus décisionnels des responsables politiques l’ont amené à étudier l’histoire de la pensée d’État sur la longue durée. Publiée aux éditions du Boréal en 2005, son étude Tracer les marges de la Cité. Étranger, Immigrant et État au Québec, 1627-1981 a été ainsi finaliste pour le prix Jean-Charles-Falardeau de la Fédération canadienne des sciences humaines en 2006.
De pair avec Marcel Martel (du Département d’histoire de la York University, à Toronto), il s’est également penché sur les enjeux linguistiques canadiens et québécois de 1539 à nos jours, dans un livre paru en 2010 aux éditions du Boréal (Langue et politique au Canada et au Québec. Une synthèse historique) et dans un recueil publié en 2008 aux Presses de l’Université Laval (Légiférer en matière linguistique). Langue et politique au Canada et au Québec a reçu le Prix de la présidence de l’Assemblée nationale du Québec en 2011 pour le meilleur ouvrage portant sur la politique au Québec. L’ouvrage est aussi finaliste du prix Donald-Smiley 2011 de l’Association canadienne de science politique.
Martin Pâquet travaille également sur trois autres terrains d’enquête relatifs à l’histoire des cultures politiques et des usages publics du passé dans un contexte contemporain. Il s’intéresse à l’histoire de la pensée scientifique au cours des derniers siècles, plus précisément aux politiques d’hygiène mentale prônées en matière de santé publique au Québec de 1918 à 1945. Il étudie aussi les différents rituels, manifestations et cérémonials relatifs à l’expression du politique dans l’espace public en Amérique du Nord. Enfin, ses travaux sur les usages publics du passé explorent les arcanes de l’épistémologie et de la méthodologie historiques, de l’historiographie canadienne et québécoise, ainsi que de la sociohistoire des communications.
Vincent Tam
Membre
Vincent Tam est directeur de la logistique au Centre intégré de santé et de services sociaux de la Montérégie-Ouest. Il a, au cours de sa carrière, travaillé dans différents milieux, tant aux États-Unis qu’au Canada. Son expertise couvre les domaines des soins aigus, de longue durée, à domicile et de réadaptation, ainsi que de la pédiatrie. Il a notamment pu mettre cette expertise à profit avec l’équipe de projet de l’Hôpital Vaudreuil-Soulanges, des centres d’hébergement de soins de longue durée, de même que des centres de réadaptation en dépendance et de réadaptation physique. Il a, par ailleurs, acquis une grande expérience en amélioration de la qualité et en pratiques basées sur les données probantes.
Après un baccalauréat en physiothérapie, Vincent Tam a obtenu une maîtrise en administration des affaires. Il a participé à de nombreux projets, notamment au sein de la Joint Commission on Accreditation of Healthcare Organizations, aux États-Unis. Il a également effectué le programme FORCES de la Fondation canadienne pour l’amélioration des services de santé.
James Douglas Thwaites
Membre
James Douglas Thwaites est professeur émérite de la Faculté des sciences sociales de l’Université Laval. Il est diplômé de l’Université de Toronto, de l’Université Carleton, de l’ENAP et de l’Université Laval. Il est l’auteur de nombreuses publications, principalement dans le domaine des relations industrielles (relations du travail, syndicalisme, patronat), de l’administration (gestion globale, gestion des ressources humaines, stratégie, planification), des changements technologiques, et de la mondialisation (stratégies et organisations internationales). Il est aussi conférencier dans ces mêmes domaines. Il s’est impliqué dans la fondation et le développement des revues scientifiques en tant que directeur fondateur du Bulletin RCHTQ, codirecteur et cofondateur de Labour/Le travail, et secrétaire de Relations industrielles/Industrial Relations. Il est actuellement membre du comité éditorial de cette dernière revue. Il s’intéresse à l’administration et la coordination de la publication universitaire, ayant servi de président du comité aviseur des Presses de l’Université du Québec et, à l’heure actuelle, de directeur de la collection L’Essentiel aux Presses de l’Université Laval.
L’intervention pour le compte d’institutions publiques et privées, ainsi que d’associations professionnelles fait partie des préoccupations de M. Thwaites. Dans ce cadre, il a servi, à tour de rôle, de président du Comité syndical patronal de l’industrie canadienne du textile, du Comité conjoint des ressources humaines de l’industrie textile, et du Comité conjoint des ressources humaines de l’industrie des revêtements de sol. Il a également joué le rôle de conseiller principal à Travail Canada, de chercheur au Bureau international du travail, et de vice-président du Syndicat des professeurs et professeures de l’Université Laval.
Il a exercé des fonctions administratives dans le secteur privé au siège social des entreprises Bell Canada et London Life. Dans le domaine de l’éducation, il a été directeur de la formation pratique, directeur des programmes du premier cycle, directeur des programmes de mobilité et directeur du Département des relations industrielles de l’Université Laval. Parallèlement, il a contribué à l’évaluation de divers programmes universitaires au Canada et à l’étranger.
Marie-Soleil Tremblay
Membre
Marie-Soleil Tremblay est Fellow comptable professionnelle agréée et professeure titulaire à l’ENAP. Elle est titulaire d’un doctorat en administration des affaires de l’Université Laval et est l’auteur de plusieurs manuels et articles traitant d’audit, de gouvernance d’entreprise, de contrôles, de rémunération des cadres et de gestion financière. Ses recherches ont été présentées lors de conférences universitaires et professionnelles à travers le monde. Elle est membre du comité de rédaction de Critical Perspectives on Accounting, Acounting Forum et Accounting, Auditing and Accountabilty Journal.
Leader à l’Effet A pour aider les femmes à propulser leurs ambitions, Marie-Soleil Tremblay apporte également son expertise financière au conseil d’administration d’Investissement Québec et du Festival d’été de Québec. Elle est aussi régulièrement sollicitée en tant qu’experte en gouvernance et en finance pour enrichir les réflexions sur les enjeux qui interpellent les organisations et la société.
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Le conseil d’administration est composé de seize membres dont les modalités de désignation sont déterminées dans les lettres patentes (46.94 Ko, PDF) de l’École. Il exerce ses pouvoirs dans le respect de la mission universitaire, soit l’enseignement de niveau universitaire, la recherche et les services à la collectivité. Il agit dans le respect des principes de gouvernance reconnus afin de renforcer la gestion de l’établissement en visant à la fois l’efficacité, l’efficience, la transparence, la responsabilité, l’imputabilité et son rayonnement.
Le conseil d’administration adopte les orientations stratégiques de l’établissement, lesquelles peuvent tenir compte de sa spécificité au sein du réseau universitaire québécois. Il s’assure de leur mise en application et s’enquiert de toute question qu’il juge importante.
Les principales responsabilités du conseil d’administration concernent les instances et leur fonctionnement, la réglementation, la planification, les affaires universitaires, les affaires administratives et financières ainsi que les ressources humaines.
Le conseil d’administration exerce ses pouvoirs de manière non limitative en :
- s’assurant du respect de la mission et des valeurs de l’établissement;
- approuvant les règles de gouvernance de l’École, notamment en déterminant les profils de compétences et d’expériences requis pour la nomination de ses membres, les critères d’évaluation de son fonctionnement, de ses membres, ainsi que de la première dirigeante ou du premier dirigeant de l’École;
- adoptant tout règlement, politique, procédure et protocole qu’il juge nécessaire ou utile au bon fonctionnement de l’École;
- participant à l’élaboration du plan de développement stratégique de l’établissement;
- adoptant les budgets de fonctionnement et d’investissement, les plans d’effectifs et les états financiers;
- travaillant de concert avec les instances de l’Université du Québec;
- approuvant le code d’éthique applicable à ses membres et au personnel de l’École et en veillant à sa mise à jour;
- adoptant les mesures de l’évaluation de l’efficacité, de l’efficience et de la performance de l’École.
Pour plus d'information, référez-vous au Règlement de régie interne (434.9 Ko, PDF) .
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